Sac à bandoulière

Ce sac de hanche est fabriqué par O My Bag en AppleSkin™, une alternative végétalienne au cuir dont l'aspect et le toucher sont assez proches du cuir traditionnel, mais qui est plus frais au toucher et un peu plus léger. C'est pourquoi le matériau peut ici être travaillé dans une épaisseur somptueuse sans qu'il ne pèse lui-même beaucoup sur les hanches, car c'est ce qui doit être mis dans le sac de hanche.
Le compartiment principal, doublé du tissu de coton rayé caractéristique, abrite une poche zippée et trois compartiments pour cartes. À l'extérieur du sac (devant et derrière) se trouvent deux autres compartiments qui, comme le compartiment principal, se ferment avec une fermeture éclair. La ceinture en coton rayé peut être retirée à l'aide d'un mousqueton, elle est réglable en continu et suffisamment longue pour permettre de porter le sac sur les hanches également "crossbody", ce qui est très agréable pour les épaules grâce à la largeur de la ceinture.

Si le tannage du cuir est traditionnel, les procédés de tannage (par exemple avec de l'extrait de feuilles d'olivier) ainsi que les matériaux utilisés comme alternatives aux peaux animales sont actuellement très innovants, de la mangue et de l'ananas aux champignons en passant par le cactus et le maïs. L'entreprise italienne Frumat utilise des pommes comme matériau de base et en fabrique l'AppleSkin™, qui sert de papier, de matériau de reliure et d'alternative végétalienne au cuir dans l'industrie de la mode et de l'ameublement.
Le "cuir de pomme", comme on appelle aussi AppleSkin™, est fabriqué à partir des restes (pelures, tiges et fibres des fruits) qui proviennent de la production de jus et qui sont normalement éliminés comme déchets biologiques - la boucle est ainsi bouclée et les déchets deviennent une matière première obtenue en ménageant les ressources. Dans le procédé développé par le fondateur de Frumat, Hannes Path, les restes de pommes sont d'abord séchés et finement broyés. La poudre riche en cellulose est ensuite mélangée à du polyuréthane et du polyester, puis appliquée sur un tissu support résistant à la déchirure en coton et viscose, qui est coloré avec des pigments naturels et enfin chauffé pour le rendre résistant aux intempéries et à l'usure. Selon l'utilisation de l'AppleSkin™, il est possible de gaufrer différentes structures sur la surface par ailleurs lisse, afin de donner un aspect cuir parfait. Mais à la différence du cuir véritable, AppleSkin™ est plus léger et offre en outre une sensation légèrement plus fraîche au toucher. Comme le cuir, il présente aussi avec le temps les traces de l'utilisation : il peut se rayer et s'assombrir légèrement.

Le nettoyage et l'entretien de vos produits AppleSkin™ sont simples : utilisez un chiffon humide ou de l'eau savonneuse et essuyez délicatement la surface si nécessaire. N'utilisez pas de produits d'entretien pour le cuir, car ils endommagent le matériau.

Soutenir le commerce, pas l'aide. C'est sous cette devise que Paulien Wesselink a créé son label O My Bag, afin de fabriquer des sacs dans le respect de l'environnement et des personnes. Le design est créé au siège de l'entreprise à Amsterdam, la production a lieu à Kolkata en Inde - un choix délibéré pour pouvoir offrir aux producteurs* locaux et à leurs familles un salaire équitable et un accès au marché mondial.

Les sacs de O My Bag se distinguent par un style clair et fonctionnel, intemporel, qui correspond à la durabilité du matériau dont ils sont faits : un cuir de haute qualité tanné de manière végétale. Pour Paulien Wesselink, le cuir est toujours l'option la plus durable en raison de son faible impact sur l'environnement, à condition que le tannage et la teinture soient respectueux de l'environnement. En outre, elle utilise du coton certifié GOTS, mais la marque est également ouverte aux matériaux innovants et écologiques : depuis 2021, O my Bag fabrique des sacs et des portefeuilles en AppleSkin™, une alternative végétalienne au cuir.