Couteau de chef japonais Santoku

Le nom japonais "Santoku", qui signifie "trois vertus", indique déjà les bonnes propriétés de ce couteau pour couper la viande, le poisson et les légumes - dans son pays, c'est le couteau de cuisine universel. Il se caractérise par son bord supérieur émoussé, aligné avec le manche. La lame large dépasse largement sous le manche. Pour le tranchant, on utilise ici un acier au carbone de la plus haute qualité : le "Yasuk", l'acier blanc. Forgé dans la forge de couteaux de Maître Nakagawa et aiguisé par Maître Nishida à Sakai.

Pour un cuisinier japonais, une technique de coupe précise fait depuis toujours partie intégrante de la cuisine - les couteliers japonais fabriquent des couteaux selon cette exigence. Il en résulte des couteaux dont le tranchant et le maniement sont uniques. Alors que les couteaux européens se composent toujours d'un seul acier, les couteaux japonais sont forgés à partir d'une combinaison de fer doux (pour les couches extérieures) et d'acier au carbone extrêmement dur (env. 62-63 HRC) et très pur (pour le tranchant).

Nous avons choisi deux couteaux : le premier, universel, pour la viande, le poisson et les légumes, est aiguisé des deux côtés. Le second, le Deba, un couteau vraiment lourd à la lame très large et aiguisée d'un seul côté, sert traditionnellement à découper la viande ou le poisson (fraîchement pêché). Avec ces deux couteaux, on ne coupe que sur une planche en bois, en aucun cas sur du marbre ou du verre.